Chaque édition du festival du cinéma africain de Khouribga, qui fête cette année son quarantième anniversaire, donne l’impression d’être une victoire à l’arrachée. Tant il est inscrit dans les aléas de la vie africaine formant une sorte de destin tragique comme pour un héros d’un film de Souleiman Cissé, d’Idrissa Ouedraogo ou de feu Bouanani……