D’un ton empreint de rigueur, le Souverain aura tenu le discours de la clarté, dépourvu de toute ambiguïté, par rapport à la question du Sahara. Il n’y va nullement par quatre chemins pour dire la vérité qui s’imposait en s’adressant aux «alliés» traditionnels dont la position à cet égard, laisse à désirer. On ne saurait…