Le Maroc s’indigne face à la perte de la raison

Nouvelle dérive du pouvoir algérien

Mohamed Khalil

Décidément rien n’arrête le pouvoir algérien dans sa haine envers le Maroc, et ce depuis plus de 54 années. Le pouvoir en kaki ne semble pas avoir d’autres préoccupations que de nuire à l’image d’un Maroc qui fait des efforts pour marcher vers le progrès multiforme.

Les médias à la solde de la soldatesque algérienne, à commencer par son agence officielle APS et les pseudos-journalistes au service des services sécuritaires militaires, font feu de tout bois pour cracher leurs mensonges et haine contre le Maroc, son peuple et ses institutions sacrées.

La dernière fournée est venue de la part de la télévision Echourouk d’Alger, une télé dont le fondateur avait été arrêté, en 2019 en plein «Hirak» populaire contre le régime militaire algérien. Ce média a été vite récupéré par les services sécuritaires militaires, après le décès de son patron Ali El Fodil.

Ainsi, en plus de la guerre inventée par les militaires, qui n’existe que dans l’imaginaire de ses auteurs, l’on passe à la pseudo-caricature et satire pour maquiller les faits et dénaturer la réalité, en recourant aux manières les plus abjectes pour dénaturer les positions officielles marocaines…

Face à cette hystérie médiatique, la réponse du Maroc ne s’est pas fait attendre. L’indignation est totale et la riposte est énergique.

De la classe politique aux organismes médiatiques, en passant par les intellectuels, les experts et la société civile, c’est le raz-de-marée contre une pratique honteuse du voisinage, de la fraternité et du vivre en société commune. La condamnation est sans appel.

Le Secrétaire général du PPS Nabil Benabdallah a estimé que « le recours par certains médias manipulés par des milieux algériens dépités par leurs récents revers successifs à des procédés indignes et ridicules, portant atteinte au symbole de la nation marocaine, est l’expression même de la perte de toute raison et d’une quelconque éthique».

La profession n’était pas du reste. Le CNP, la FMEJ,  le SNPM et l’ANME ont vivement dénoncé le comportement «irresponsable».

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