Qui pourrait bien être le régime algérien qui se met à l’encontre du droit international, sans nul scrupule ? Le roman médiéval du 17ème siècle de Miguel de Cervantes, Don Quichotte, narrait la conduite comique et satirique du personnage.
A coup sûr, l’œuvre de l’ingénieux auteur ibérique conviendrait à l’attitude poivrée de la dictature militariste d’Algérie. A l’instant où la résolution onusienne lui infligeait la énième claque 2756, prorogeant d’un an le mandat de la MINORSO, leur chef d’Etat recevait son «homologue» des séparatistes en desserte aérienne de Tindouf à Alger. Un réel archétype donquichottesque qui ne dit pas son nom !
Le pouvoir algérien est comme une vipère étêtée qui se tortille, soupirant ses ultimes soubresauts sur l’autel de la dérision de la planète. La chimère dont il a songé depuis un demi-siècle, n’est qu’un fantasme qu’il trainait pareil à un boulet de fer de bagnard aux travaux forcés.
A mesure que l’étau se resserre autour de son cou sclérosé, il dégaine ses cartouches mouillées en direction de son ennemi-juré alors qu’il ne fait que s’isoler sur la scène mondiale. Il ne sait plus à quel saint se vouer, depuis que ses thèses expansionnistes s’effilochent comme des fétus de paille et que son voisin jouit de la justesse de ses terres récupérées qu’il érige en fleurons de projets structurants.
L’Algérie en est cernée de toutes parts et acculée à se rendre à l’évidence des absurdités du donquichottisme dans lequel elle s’embourbe à grands pas.
Avec les ressources qu’elle renferme, l’Algérie aurait pu s’en servir pour des causes beaucoup plus nobles, au service de son pays et son peuple, au lieu de s’entêter à s’en prendre à une contrée frontalière avec laquelle elle partage nombre de fondements historiques.
Le romancier espagnol cité au préambule de ce billet, disait bien à ce propos : «Ce ne sont pas les richesses qui font le bonheur, mais l’usage qu’on en fait !».
Or, la nature génétique belliqueuse que se livrent à cor et à cri, les caporaux algériens est innée aux fonds de leurs tripes, en dépit de leurs déboires qu’ils cumulent au fil du temps, en vue de faire perdurer au maximum un régime voué à la disparition, semblable à une épave vomie par l’histoire de l’humanité.
Quant au Maroc, lui, imbu des valeurs de la paix et conduit par une Monarchie sage et visionnaire poursuit sa ligne de démocratie, de progrès et de modernité, en faveur de ses générations futures.