La ville de Zagora se prépare pour accueillir, du 19 au 24 novembre courant, la dixième édition du festival international du film transsaharien qui se place, cette année, sous le thème : «Cinéma et Minorités».
Organisée par l’association Zagora pour le film transsaharien, cette édition est riche en programmation artistique et culturelle dont notamment une compétition officielle des longs métrages portant le thème du désert et tous
Le cinéma et minorités célébrés à Zagora
Déclarations
«Publier un livre au Maroc s’avère une aventure à haut risque»
«Comment peut-on parler d’une rentrée littéraire dans un pays où le souci majeur de la population – même celle lettrée et liseuse- reste le pain quotidien, les dépenses festives (ramadan, fitr et sacrifice…) et scolaires ? La rentrée la plus ressentie au Maroc est bien la rentrée scolaire qui vole la vedette à la fois aux éditeurs, aux auteurs et aux livres et ce, depuis une bonne décennie où on a commencé à sonner l’alarme de la crise de lecture et du livre, conçu uniquement comme produit de
«Créer le cadre général stimulant»
Ecrivains, éditeurs, enseignants sont unanimes : le secteur du livre au Maroc vit une crise sans précédent. Si rien n’est fait, le livre tombera à coup sûr dans les oubliettes. Dans cette interview accordée à Al Bayane, Mohamed Amine Sbihi, ministre de la Culture revient sur l’état des lieux du secteur du livre au Maroc et la politique du
L’édition est avant tout un «bizness»
Al Bayane : Bon nombre d’écrivains marocains choisissent de publier leurs travaux dans les maisons d’éditions étrangères. Qu’est-ce qui explique cette situation ?
Moha Souag : Les écrivains ne choisissent pas, ils proposent et leurs manuscrits sont pris ou pas. L’édition est avant tout un «bizness». On y investit et on y gagne ou on y perd de l’argent. Une grande partie des livres publiés au Maroc sont subventionnés par des ONG ou des organismes étatiques.
Le livre est toujours la première industrie culturelle en France
Le CHU, très près plus que jamais !
Depuis déjà des lustres, on s’époumonait afin de décrocher la création d’une faculté de médecine et d’un Centre hospitalier universitaire (CHU) à Agadir, pour pas moins de quatre régions du sud, soit plus de la moitié de la population et du territoire du pays. Toutes les constituantes de la communauté des zones concernées ont cravaché dur pour arracher cette réalisation tant convoitée.
Manque de vision et de démarche pluriannuelle
Et de deux, le chef du gouvernement vient d’engager une nouvelle ponction sur les investissements publics. Abdelillah Benkirane a jugé nécessaire d’annuler les crédits non engagés à fin octobre dernier pour cause de maîtrise du déficit budgétaire.
Mobilisation constante pour la défense de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale
Le peuple marocain célèbre ce mercredi 6 novembre le 38e anniversaire de la Marche verte. Il s’agit d’un évènement qui constitue pour les Marocaines et les Marocains un moment fort. Car, c’est grâce à cette marche pacifique, planifiée ingénieusement par feu SM Hassan II, que le Maroc a pu recouvrer ses provinces du sud de l’occupant