Le front séparatiste a beau battre à plate couture la volonté marocaine de régler le conflit artificiel sur son intégrité territoriale, il s’avère jour pour jour, que ses ignobles manigances sont tombées à l’eau.
A plus forte raison, ce mythe sécessionniste qui a bien cru fissurer la justesse s’est fait désavouer par la réalité saillante du déferlement du flot de reconnaissances de la souveraineté du Royaume sur son Sahara.
Tout en réduisant à néant les prétentions du ramassis fantoche et son parrain qui s’isole éperdument sur la scène internationale, le retour à la raison de nombre de nations notamment les plus récalcitrants qui se fausauent « embobiner » par la thèse sécessionniste de l’Algerie et son pantin.
À cet égard, on se souvient de la manigancé perpétrée contre notre pays autour du dossier de pêche et à propos duquel l’émissaire de l’UE à la cour de justice s’est montré, fort regardant à la thèse de notre pays, remplissant les conditions administratives pour une telle épreuve d’ordre plutôt commercial.
Ce qui n’est nullement le cas pour cette entité fictive qui tentait vainement de mettre en échec l’entreprise nationale à même de pouvoir honorer ses engagements envers ses alliés européens et assurer leur pérennité. D’autant plus que l’intrusion polisarienne dans le sillage des accords de pêche relève du mirage fantaisiste d’un groupuscule dépourvu de la notion de structure étatique, de nature à se mesurer à des instances institutionnelles.
Dans le même ordre d’idées, la plaidoirie des avocats relevant de l’UE ont jeté leur dévolu sur la légitimité marocaine, en tant qu’Etat séculaire, en mesure de garantir l’essor de toutes les provinces récupérées du sud, sur la base d’un accord pouvant permettre à ses populations toute la quiétude requise, à travers la mise en fonction de l’employabilité et la mise en avant des structures.
D’autre part, le plaidoyer du conseil européen s’est littéralement opposé à mettre sur le même pied d’égalité tout antagonisme superficiel, tout en se focalisant sur un piédestal fondateur « déclinant le ressort de l’Union Européenne et sa jurisprudence à se mêler de ce qui ne les regarde pas, faisant état à l’affaire du Sahara ».
Tout en informant de la date butoir de rendre public le jugement final dans les trois mois prochains de l’année à venir, les avocats en service de la question des accords de pêche ont catégoriquement infirmé la latitude du Polisario à s’estimer être détenteur de droit à fourrer le nez dans la question d’Etat à Structure fédérative. Il semble bien que là encore, ils sont en passe de concéder un revers des plus cinglants, du fait qu’en dépit des accusations non- avenues et infondées l’UE ne se laisse nullement se payer sa tête, malgré le fait également qu’en son sein des voix extrémistes anti-marocaines ne cessent de porter préjudice à notre intégrité territoriale.
Le dossier des accords de pêche, entre autres, assène un cuisant coup aux polichinelles de la junte de la caserne algéroise et s’en irait sans doute, aggraver leur myopie éhontée.