Ali Yata, l’authentique défenseur de la cause nationale
Fils de Si Said, son père, et de Fatima Ben Amar, sa mère tangéroise, Ali Yata, qui a vu le jour dans la ville du Détroit, devait recevoir, dès son jeune âge, à Tanger une bonne éducation, sous le regard bien veillant d’un Alem qu’il respecte profondément tout au long de son existence, Si Abdallah Guennoun.
La famille Yata s’installe en 1933 à Casablanca, dans les demeures toutes neuves à l’époque
Déclaration du Bureau politique du Parti du Progrès et du Socialisme à l’occasion du soixante-dixième anniversaire de la fondation du parti
– La dialectique de la fidélité et de la rénovation constitue le fil directeur guidant l’action de tous les militants et militantes
Le Parti du Progrès et du Socialisme célèbre en ce mois de novembre 2013, avec fierté, le soixante-dixième anniversaire de la fondation du Parti communiste dans notre pays, et dont le Parti du Progrès et du Socialisme est l’héritier
Entretien avec le Secrétaire général du parti, Mohamed Nabil Benabdellah
Al Bayane : Le parti célèbre le 70e anniversaire de sa création, quelle est la portée de cet événement pour vous ?
Nabil Benabdellah : La commémoration du 70e anniversaire de la création du Parti communiste marocain (PCM), dont le Parti du progrès et du socialisme (PPS) est l’héritier légitime et le prolongement naturel qui poursuit sa longue et difficile lutte dans un esprit
70
Un large débat sur l’universalité
Pour la première fois, depuis presque une décennie, le concert pour la tolérance d’Agadir a jugé bon de tenir, quelques heures avant ce grandiose show musical, une conférence dans un grand palace de la ville, autour des idéaux de l’ouverture culturelle et de la coexistence universelle.
Poème
Chaque fois que vient l’automne
Me vient une étrange sensation
Je deviens un arbre centenairea
Le vent violent et tortionnaire
Me prece, me transperce, me déchire
Je sens frémir mon vieux tronc
J’entends gémir mes petits bourgeons
Je vois, faible, inerte et impuissant
Mes branches s’agiter fébrilement
Faisant tomber mes frêles oisillons
Mes feuilles jaunies sont emportées par le vent
Mes branches squelettiques et osseuses
Deviennent peureuses et frileuses
Et je m’aperçois
Avec émoi et effroi
Que je suis nu comme un ver
Et je deviens maussade et solitaire!
Chaque fois que vient l’automne
Je deviens sourd et aphone
Lourd, lent et atone
La nature me contamine
J’ai une mauvaise mine
Et je disparais dans la brume
Le vent, en colère, bourdonne
Le tonnerre, sévère, tonne
Le soleil, patibulaire, ronronne
La terre, austère, frissonne
La mer, solitaire, espionne
Un nouvel espoir pour les chauves
Pour beaucoup d’hommes être chauve n’est pas aussi évident qu’on pourrait le croire et pour certains la calvitie est vécue comme une injustice surtout les jeunes. Mais alors, qu’en est il quant il s’agit d’une femme chauve?C’est là une situation très difficile a assumer, c’est même lourd à porter, surtout dans une société comme la notre ou la femme est admirée pour sa beauté et sa chevelure, plus celle-ci est longue et soyeuse, plus.
On comprend dès lors ce que peut ressentir un homme ou une femme chauve, Un crane dégarni, c’est comme un fardeau écrasant, qui ne cesse de gagner du poids de jour en jour et qui s’alimente des regards et parfois des moqueries des gens.