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Un festival de cinéma «en plein air» à Harhoura

Un festival de cinéma «en plein air» à Harhoura

Le rideau s’est levé, mardi soir à la plage Sidi El Abed à Harhoura, sur la 1ère édition du Festival de cinéma en plein air « Harhoura ciné-plage » avec un vibrant hommage aux artistes marocains, Mouna Fettou, Mohamed Rzine et Younes Megri. La cérémonie d’ouverture de cette manifestation cinématographique, organisée par l’Association marocaine des arts sans

«Nous voulons donner au cinéma marocain une autre dimension»

Harhoura se dote de son festival de cinéma, Festi-plage, dont la première édition se déroulera du 26 au 30 juillet sous le thème «Cinéma de la plage». C’est aussi une première au Maroc, puisque toutes les projections cinématographiques se feront sur la plage……  Abdelouahed Lamjahdi, directeur de festival  de Harhoura nous donne plus de détails

Merci les filles !

N3am a lalla de Zakia Tahiri Maintenant que les polémiques autour de la programmation télévisuelle pour le mois de ramadan se sont calmées, on peut opérer un retour rapide sur ce qui a marqué cette «saison» exceptionnelle du paysage audiovisuelle marocain. En effet, au-delà de l’inflation de discours généraliste autour de la « médiocrité » des programmes,

«Le vent nous emportera»

Décès de Abbas Kiarostami, icône universelle du cinéma iranien «Quand on ne dit rien c’est comme si on disait une multitude de choses» A. Kiarostami Abbas Kiarostami est décédé, lundi dernier (4 juillet), à l’âge de 76  ans. C’est dans une clinique parisienne, où il était venu pour des soins, que sa mort a été

Un amour à Casablanca de Abdelkader Lagtaâ (1991)

Il était une fois le cinéma Il est entré dans l’histoire comme le premier film qui a ouvert la voie du box-office au film marocain. Un amour à Casablanca inaugure en effet ce qui fut reconnu comme la décennie de scella la rencontre du cinéma marocain avec son public. Aujourd’hui peut-on s’interroger sur les raisons

Confessions

Je dévorais gloutonnement le passage que je raconterais aux gamins du quartier. Le soir, ils m’entouraient. Un silence religieux tombait et je commençais mon récit avec la formule traditionnelle des conteurs professionnels «Kane Ya Makane…» Je m’efforçais de rendre mon histoire plus attrayante, plus captivante que possible en faisant des gestes, des mimiques et en

Caftan d’amour de Moumen Smihi (1988)

Il était une fois….le cinéma Moumen Smihi (né à Tanger en 1945) occupe une position singulière dans notre paysage cinématographique. Il est considéré comme l’un des précurseurs du courant intellectuel dans le cinéma maghrébin. Il est un cinéaste des lumières. La critique désigne comme intellectuels les metteurs en scène du Maghreb qui refusent non seulement

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