gratuit que de le dire. On en veut pour preuve son cachet artistique affiché.
La septième d’une marche cinéphilique
Ce FIFFS n’est pas fait pour célébrer une quelconque géographie, ni une particularité donnée qu’on veut mettre en avant par le biais du cinéma. A Salé, il s’agit tout simplement du septième art. Choix de taille mais pas de tout repos. Car il lui faut des idées et des connaissances spéciales versées dans le cinéma en tant que mode d’expression et d’engagement dans les grands débats nationaux et mondiaux.
Les six éditions précédentes de ce FIFFS ont convaincu plus d’un de ce constat. L’actuelle édition, la septième, ne déloge pas à la règle, elle la confirme. Une programmation officielle, celle de la compétition, riche de douze nouveaux films, dont plus de la moitié sont issus du cru de l’année en cours. C’est dire que premièrement, la confiance acquise de la part des producteurs de films d’un peu partout. Secundo, la plupart sont des premiers films. Donc, ce sera une édition de la découverte, des surprises, et qui dit découverte dit pari sur l’avenir. Comme de choisir, pour la première fois, deux longs-métrages venus d’Australie et d’Hong-Kong. Des voyages à travers les images créées par des autochtones. Tertio, il n’y aura que des films faits et conçus par des femmes ! En plus d’un choix de variété en optant pour des films
Alors, les spectateurs et les invités en auront pleine la vue non pas de cette «sensibilité» dite féminine, qui a déjà montré ses preuves, mais de suivre des touches «féminines » de derrière la caméra, ainsi réunies, ce qui permettra à coup sûr de glaner bien des idées sur la participation, l’apport et la différence portés. Un FIFFS c’est ça avant tout.
Dans la même veine de participation et comme par le passé récent, le thème général choisi emprunte à l’époque son sujet, la transition démocratique. A cet effet le choix s’est porté sur une cinéphilie d’un pays passé pour exemple en la matière, le Chili. Aller chercher un tel pays, rendu célèbre par un coup d’éEtat, un président se battant jusqu’à la mort pour un idéal politique moderne, une dictature assistée par des despotes économiques.. Et surtout célèbre par son beau cinéma engagé, mais si beau en premier lieu, et un illustre poète, Pablo Neruda.. Nous les marocains, on en apprendra bien des leçons, en ces temps d’ambigüité politique dans le pourtour arabe. Ainsi et en accord un forum sur « le cinéma de la femme et le printemps arabe » sera organisé.
C’est dire que la septième édition ambitionne de concrétiser sa marche cinéphilique, de rendre la ville, capitale culturelle et artistique en l’espace d’une semaine. C’est un festival qui draine la foule et le gotha, alliant le populaire et le sélectif dans un même canevas, celui de l’apprentissage et la participation. On ne célèbre pas seulement, on contribue. C’est déjà une gageure…
Les six éditions précédentes de ce FIFFS ont convaincu plus d’un de ce constat. L’actuelle édition, la septième, ne déloge pas à la règle, elle la confirme. Une programmation officielle, celle de la compétition, riche de douze nouveaux films, dont plus de la moitié sont issus du cru de l’année en cours. C’est dire que premièrement, la confiance acquise de la part des producteurs de films d’un peu partout. Secundo, la plupart sont des premiers films. Donc, ce sera une édition de la découverte, des surprises, et qui dit découverte dit pari sur l’avenir. Comme de choisir, pour la première fois, deux longs-métrages venus d’Australie et d’Hong-Kong. Des voyages à travers les images créées par des autochtones. Tertio, il n’y aura que des films faits et conçus par des femmes ! En plus d’un choix de variété en optant pour des films
Alors, les spectateurs et les invités en auront pleine la vue non pas de cette «sensibilité» dite féminine, qui a déjà montré ses preuves, mais de suivre des touches «féminines » de derrière la caméra, ainsi réunies, ce qui permettra à coup sûr de glaner bien des idées sur la participation, l’apport et la différence portés. Un FIFFS c’est ça avant tout.
Dans la même veine de participation et comme par le passé récent, le thème général choisi emprunte à l’époque son sujet, la transition démocratique. A cet effet le choix s’est porté sur une cinéphilie d’un pays passé pour exemple en la matière, le Chili. Aller chercher un tel pays, rendu célèbre par un coup d’éEtat, un président se battant jusqu’à la mort pour un idéal politique moderne, une dictature assistée par des despotes économiques.. Et surtout célèbre par son beau cinéma engagé, mais si beau en premier lieu, et un illustre poète, Pablo Neruda.. Nous les marocains, on en apprendra bien des leçons, en ces temps d’ambigüité politique dans le pourtour arabe. Ainsi et en accord un forum sur « le cinéma de la femme et le printemps arabe » sera organisé.
C’est dire que la septième édition ambitionne de concrétiser sa marche cinéphilique, de rendre la ville, capitale culturelle et artistique en l’espace d’une semaine. C’est un festival qui draine la foule et le gotha, alliant le populaire et le sélectif dans un même canevas, celui de l’apprentissage et la participation. On ne célèbre pas seulement, on contribue. C’est déjà une gageure…