Alors que depuis dix jours la rue algérienne est en ébullition pour dénoncer l’idée-même d’une cinquième candidature à la magistrature suprême du pays de Bouteflika, un président moribond dont la mobilité et l’élocution sont réduites depuis qu’il avait été victime d’un accident vasculaire cérébral en 2013, ce dernier parti en Suisse – comme si de…