En réponse à l’assassinat, le 3 Janvier dernier, du général iranien Qassem Soleimani, Téhéran avait, dès le surlendemain, affirmé ne plus être concernée par les dispositions de l’accord de Vienne encadrant son programme balistique et nucléaire et notamment celles limitant le nombre de centrifugeuses utilisées pour la production de combustible nucléaire. Aussi, dans ce contexte…