En marge de la commémoration du 67ᵉ anniversaire de la bataille de Dcheira
En marge de la commémoration du 67ᵉ anniversaire de la bataille de Dcheira et du 49ᵉ anniversaire du départ du dernier soldat étranger présent sur le sol de notre Sahara, festivités qui se sont tenues du vendredi 28 février au dimanche 2 mars 2025 dans les villes de Laâyoune, Es Smara et Boujdour, notre camarade Karim Ben Amar, journaliste à la rédaction francophone du quotidien Al Bayane, a reçu un hommage au siège provincial du Haut-commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l’armée de libération à Es Smara.
Cet hommage lui a été rendu par la commune de Haouza et par l’association 20 août, en présence du Haut-commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l’armée de libération, Mustapha El Ktiri, du gouverneur de la province d’Es Smara, Brahim Boutoumilate, du commandant de la place d’armes d’Es Smara ainsi que de nombreux élus de la province.
Selon le président de l’association « 20 août pour la résistance et la mémoire vivante », basée à Es Smara, Mohamed Dardouri, cet hommage lui a été rendu en raison « de son engagement constant et de la dévotion qu’il porte à son noble métier, à sa Nation et à la cause nationale. De plus, Karim est profondément attaché aux provinces du Sud, il ne rate jamais une occasion pour s’y rendre ».
Et de poursuivre : « Lorsque les associations de la région le contactent pour communiquer sur un événement ou une initiative, il est toujours à l’écoute et de bon conseil. Cet hommage est donc amplement mérité et nous lui souhaitons beaucoup de succès pour la suite de sa carrière. »
Pour sa part, Karim Ben Amar a déclaré que cet hommage n’était pas uniquement le sien, mais aussi et surtout celui d’Al Bayane, en commençant par son directeur de publication, Mahtah Rakas, et son rédacteur en chef, Najib Amrani.
« Je dédie tout naturellement cet hommage à ma grande famille d’Al Bayane qui me soutient tous les jours que Dieu fait. Mon épanouissement et ma motivation puisent leur énergie dans la fraternité qui règne dans notre rédaction. »
Et de conclure : « Quant à mon attachement indéfectible aux provinces du Sud, cela m’a été transmis par mon défunt père, au même titre que la pratique consciencieuse de mon métier de journaliste. Au final, je ne fais que mon devoir de journaliste et de patriote. »