Bilan et perspectives
Lancé le 6 octobre 2009, le programme d’urgence (2009-2012) devait se traduire par la réforme du système d’éducation et de formations supérieures au Maroc. Pour la mise en application de ce programme, des contrats pour le développement de l’université marocaine ont été signés lors d’une cérémonie présidée par SM le Roi Mohammed VI à Agadir, ce qui avait ravivé les espoirs chez tous les observateurs et l’ensemble des Marocains de voir l’enseignement supérieur jouer pleinement son rôle.
Un an après l’expiration de la période fixée à ce programme, l’université marocaine est toujours considérée comme une usine de fabrication de «diplômés» chômeurs, prêts à participer à toutes les manifestations et sit-in pour se faire embaucher sans concours aucun dans la fonction publique.
Aucune réforme universitaire n’a été conçue ou menée et aucune amélioration de la qualité des formations dispensées n’a été réalisée, en dépit des sommes importantes allouées à ce programme d’urgence. Tous les fonds ont été dépensés et l’université marocaine a encore raté le rendez-vous avec l’histoire.
Selon un communiqué de l’UM5S, cette journée de la gouvernance, qui sera consacrée à l’évaluation du programme d’urgence (2009-2012) à l’UM5S, vise à «développer sur une base volontaire des outils d’évaluation de la gouvernance des établissements relevant de l’UM5S, identifier et partager les bonnes pratiques en matière de gouvernance universitaire, renforcer les capacités des établissements à accomplir leurs missions, concevoir et mettre en œuvre des actions de sensibilisation et de formation à la gouvernance universitaire et développer une culture professionnelle de la gouvernance universitaire».
Le programme de la journée sera marqué par l’évaluation du programme d’urgence (2009-2012) à l’UM5S, l’annonce des résultats des meilleurs projets de gouvernance retenus et qui sont sélectionnées pour un financement. Des prix sont également réservés aux porteurs de ces projets sélectionnées, d’après le communiqué, qui ajoute que des ateliers de réflexion (formation, recherche et gouvernance) seront organisés. Il sera également procédé à la remise des prix de reconnaissance des meilleurs administrateurs de l’Université Mohammed V-Souissi.
Un an après l’expiration de la période fixée à ce programme, l’université marocaine est toujours considérée comme une usine de fabrication de «diplômés» chômeurs, prêts à participer à toutes les manifestations et sit-in pour se faire embaucher sans concours aucun dans la fonction publique.
Aucune réforme universitaire n’a été conçue ou menée et aucune amélioration de la qualité des formations dispensées n’a été réalisée, en dépit des sommes importantes allouées à ce programme d’urgence. Tous les fonds ont été dépensés et l’université marocaine a encore raté le rendez-vous avec l’histoire.
Selon un communiqué de l’UM5S, cette journée de la gouvernance, qui sera consacrée à l’évaluation du programme d’urgence (2009-2012) à l’UM5S, vise à «développer sur une base volontaire des outils d’évaluation de la gouvernance des établissements relevant de l’UM5S, identifier et partager les bonnes pratiques en matière de gouvernance universitaire, renforcer les capacités des établissements à accomplir leurs missions, concevoir et mettre en œuvre des actions de sensibilisation et de formation à la gouvernance universitaire et développer une culture professionnelle de la gouvernance universitaire».
Le programme de la journée sera marqué par l’évaluation du programme d’urgence (2009-2012) à l’UM5S, l’annonce des résultats des meilleurs projets de gouvernance retenus et qui sont sélectionnées pour un financement. Des prix sont également réservés aux porteurs de ces projets sélectionnées, d’après le communiqué, qui ajoute que des ateliers de réflexion (formation, recherche et gouvernance) seront organisés. Il sera également procédé à la remise des prix de reconnaissance des meilleurs administrateurs de l’Université Mohammed V-Souissi.