A moins de deux mois de son congrès national, le PPS entame les dernières phases des préparatifs. L’étape des assemblées générales locales et des congrès provinciaux entre en lice, avec détermination et engouement pour assurer la réussite de ces échéances.

Le PPS, de tout temps, priorise le principe du devoir, honore ses engagements, respecte ses alliances quoique parfois contre-nature, joue le rôle de médiateur pour apaiser les appétits de convoitise démesurée, prône une politique de réalisme, de pondération et de pragmatisme.

Cette conduite mature et altruiste, sanctionnée par une autonomie décisionnelle infaillible, que le parti s’est forgée, des décennies durant, lui vaut des réactions grincheuses de la part de ses proches alliés, voire des tentatives d’exclusion et d’extermination. Et ce n’est guère les exemples qui manquent à ce propos ! Ce comportement vindicatif ne fait que renforcer les convictions inébranlables du parti, car rien ne saurait occulter ni ignorer tout ce legs national généreux de longue date dont le pays se sert à perpétuité, précisément lors des moments délicats, pendant que les autres cherchent exclusivement à redorer leur blason réducteur.

Le parti se mobilise pour se préparer aux prochaines assises nationales, en préférant l’outil partisan de nature à s’harmoniser avec le rayonnement politique du parti dont les retombées sont judicieuses pour la stabilité et la prospérité du pays et prôner une politique de réalisme, de pondération et de pragmatisme.

Cette période d’expectative que le Maroc traverse actuellement, ne pourrait, en aucun cas, altérer la dynamique des grands chantiers ouverts en concertation nationale que nulle dérobade unilatérale ne saurait avorter.