Quand on est en possession de l’idée limpide et de la vision cristalline, le verbe pour les formuler ne fait jamais défaut. Gustave Flaubert, l’illustre écrivain français martelait un jour : «Le style est autant sous les mots que dans les mots !».
C’est un peu le cas du chef de file de la région dont le vocable du message ne faillit point à l’acte de son passage, exactement comme l’avait fait signifier l’auteur de la célèbre œuvre «Madame Bovary».
D’autant que l’éloquence s’avère son fort tant sur le fond que la forme et le ton que la norme !
A son dynamisme jaillissant au quotidien qu’il fait retentir sur telle ou telle épreuve, on ne peut se retenir d’en faire l’écho au grand jour, non sans faste, puisqu’il est question d’un passionné de travail, non sans joie non plus. «La vie fleurit par le travail !», disait le poète français du 19ème siècle, Arthur Rimbaud.
Il va sans dire en fait, que dès qu’il foule le sol de la station balnéaire du royaume, il s’est pleinement attelé à faire fleurir les bourgeons de la cité en pleine métamorphose à travers un travail assidu et sans relâche, tel que l’a arboré ce jeune aède, de façon romantique. La qualité du travail est non seulement une besogne assignée, mais bel et bien une aura qu’on a dans les tripes et une conscience qu’on façonne au fil des années.
Visiblement, tout laisse croire que le vœu ardent de la Haute Autorité du Royaume de faire de la ville une belle métropole satellitaire au centre de la Nation ne tardera nullement pas à se conclure en apothéose.
Le grand pari de l’actuel mandat du nouvel hôte de la région qui se meut avec ferveur et engouement, s’émaille non pas seulement par les aspects à impact économique et industriel dont nul ne saurait minorer, mais aussi et surtout les volets à dimension sociale et humaine.
Il s’en va faire la grande cavalcade de la traversée du désert dans les divers recoins de sa régions, en se focalisant à concilier les leviers de la proportion sociétale dans sa globalité. Son récent atterrissage sur la Wilaya du Souss Massa, est survenu à point nommé, au moment crucial du relooke de la ville renaissante de ses cendres du fond en comble, si l’on sait que la clé en main, nécessitera une double diligence en termes de finalisation, d’entretien et d’exploitation idoine.
«On ne fait jamais les choses à moitié !», avait ponctué le fabuliste français, La Fontaine, dans ses leçons avérées.