Les tissus anciens au Maroc comptent plus de 250.000 constructions et près de 20.000 équipements. Ils représentent 10 % du patrimoine immobilier et abritent environ 5 millions d’habitants. Plus de 60 % de ces constructions sont en mauvais état et 15% menacent ruine, selon un rapport du ministère de l’Habitat. Le coût global pour la réhabilitation de ces constructions vétustes est estimé à cinquante milliards de dirhams.
750 milliards de dirhams pour soutenir la stabilité économique et financière
La zone euro vivait depuis jeudi dernier dans la tourmente. Il aura fallu courir contre la montre pour éviter, d’une part, que les marchés de change ne sombrent dans le rouge à leur ouverture hier lundi et d’autre part que la crise grecque n’emporte dans son sillage d’autres pays européens.
Nabil Benabdallah : «Nous partons unis et cohérents pour un congrès national de qualité»
Dans le cadre des actions préparatoires au huitième congrès national du PPS, la section provinciale du parti a tenu dimanche dernier au centre d’estivage COS-ONE, son congrès préfectoral en présence de Mohamed Nabil Benabdallah et Mustapha Addichane, membres du bureau politique et Rachid Rokbane, président de l’organisation des pionniers – enfants du Maroc (OPEM).
Les orphelins au Maroc : En quête de revalorisation
Ils représentent plus de 30.000 personnes au Maroc. Dans la majorité des cas, les enfants orphelins ou abandonnés sont laissés pour compte, voire marginalisés. Certaines personnes considèrent que prendre en charge un enfant abandonné présente un risque du fait que l’origine de l’enfant est méconnue dans la globalité des cas.
Mohamed Talbi :«Une vision inspirée des traditions sociales»
Pour Mohamed Talbi, directeur de l’Entraide Nationale, débattre de la situation des orphelins au Maroc n’est plus un sujet tabou comme c’était le cas dans le passé. Néanmoins, il reste encore beaucoup à faire pour sensibiliser davantage quant à la réalité que vit cette catégorie sociale.
Franchir le Rubicon…
La capitale ismaïlienne n’en finit pas de panser ses blessures. Depuis que la gestion communale avait été dévolue à la formation de la lampe. La preuve ? Une nouvelle mine vient d’exploser sous les pieds des responsables locaux des Habous et des affaires islamiques.