Une délégation de la direction du PPS rend visite à Samia Yata et Ahmed Salem Latafi
Une délégation de la direction du Parti du progrès et du socialisme, conduite par My Ismaïl Alaoui, président du Conseil de la présidence du parti, et Mohammed Nabil Benabdallah, Secrétaire général du PPS, a rendu visite, vendredi dernier à Casablanca, à Samia Yata, fille du fondateur du parti Ssi Ali, et à Ahmed Salem Latafi, ancien membre du Bureau politique du PPS et fondateur de la Jeunesse marocaine du progrès et du socialisme (actuelle Jeunesse socialiste).
La délégation était composée de Mahtat Rekas, membre du Comité central et directeur des journaux Al Bayane et Bayane Al Yaoum, Rachid Roukbane, membre du Bureau politique du PPS et Président en exercice de la Fondation Ali Yata, Rachida Tahiri et Mahjoub Kouari, membres du Conseil de la Présidence du PPS, Nouzha Skalli, ex ministre et ancienne députée, Saïd Sihida, président de la Commission nationale d’arbitrage et membre de la Fondation Ali Yata, et de Mohamed Khalil, ancien rédacteur en chef du journal Al Bayane.
Au domicile de feu Ali Yata, la délégation a longuement « papoté » avec la camarade Samia, dernière enfant de Ssi Ali, sur son état de santé et sa situation générale, et évoqué pas mal de souvenirs familiaux avec ses parents, ses frères et sœurs, notamment Nadir Yata qui fut Rédacteur en chef de Al Bayane, paix à leurs âmes !
La délégation du PPS s’est ensuite rendue au domicile de notre camarade Ahmed Salem Latafi, souffrant, auquel elle a rendu une visite d’amitié, du souvenir et de la reconnaissance pour tout ce qu’il a accompli comme actions au profit du parti qu’il n’a cessé d’avoir dans le cœur. Avec sa petite famille : sa compagne Lamia Zahraoui, sa fille Zineb, son fils Saâd et son petit fils Ali (Ah la belle transmission.. !), la délégation du parti s’est longuement entretenue et évoqué de nombreux souvenirs que notre camarade Latafi lègue aux militants, jeunes et moins jeunes.
Les deux visites entrent dans le cadre des actions entreprises par le parti pour que le droit à la mémoire ne cède pas la place à l’oubli et que la fidélité demeure une valeur vivante à travers le temps.
M. Khalil