Si vous n’avez pas encore programmé vos livres de chevet pour la nouvelle année 2018, c’est le temps DE le faire. Contactée par Al Bayane, Leïla Slimani, prix Goncourt 2016, vous propose cinq livres à lire.
«Frères migrants» de Patrick Chamoiseau, «L’art de perdre» d’Alice Zeniter, «Bakhita» de véronique Olmi, «Voltaire amoureux» de Clément Oubrerie, «La disparition» de Josef Mengele sont les titres que l’auteur des deux romans «Chanson douce» (prix Goncourt 2016) paru le 18 août 2016 aux éditions Gallimard et «Dans le jardin de l’ogre» (sélectionné dans les cinq finalistes pour le prix de Flore 2014) paru en 2014 chez le même éditeur. La journaliste et écrivaine franco-marocaine, représentante personnelle du président Emmanuel Macron pour la francophonie, depuis novembre 2017, nous livre sa liste de livres à dévorer.
Quant à l’artiste peintre marocaine Ilham Laraki Omari ayant participé pour la cinquième année consécutive au Salon d’Automne de Paris qui a eu lieu aux champs Elysée, elle a fait le choix de «La part de l’ombre dans la lumière» de Mohamed Rachdi, «Les Illuminations», recueil de poèmes d’Arthur Rimbaud, «Anna Karénine», Roman de Léon Tolstoï, «Ce que m’ont dit les peintres» de Abdelhak Najib, «Au café des faits divers» de Bouthaina Azami pour sa liste des lectures pour l’année de 2018.
Il est à rappeler que l’artiste Ilham Laraki Omari a été honorée en 2017 par la nomination «Sociétaire du Salon d’automne», une décision qui a été prise par le conseil d’administration du salon en récompense de la qualité de sa production artistique.
Le jeune poète Nizar Kerboute, auteur du recueil de poésies «Je livre mon visage au chaos», conseille les amoureux du livre et de la littérature de lire «De l’inconvénient d’être né» d’Emil Cioran, «Le Temps des assassins» de Henry Miller, «Vivre pour la raconter» de Gabriel Garcia marquez, «Vers le bleu», de Mohammed Bennis, «L’histoire des arabes avant l’Islam» de Jawad Ali. Une nouvelle année, une nouvelle page qui s’ouvre sur un bon livre.
Mohamed Nait Youssef