Le PPS récuse donc l’idée de faire du surplace. Et il a raison de faire corps avec l’Histoire dont la roue, il faut le rappeler, tourne pour avancer et non pour…reculer. Bien entendu, la réforme souhaitée prend les plis du consensus qui a de tout temps marqué les périodes où l’Histoire s’est emballée. D’un coup. Les conditions politiques paraissent ainsi réunies pour que la démocratie puisse prendre un autre élan qui renforcerait « l’exception marocaine » que les démocrates ont le droit, et le devoir, d’entretenir du mieux qu’ils peuvent. L’approche est donc éminemment historique. Sauf pour ceux qui voudraient vivre en marge de…l’Histoire. La démarche du PPS a un nom : la réalpolitik. Et c’est ce qui a fait ses succès d’hier, d’aujourd’hui comme on l’espère, et de demain. Bon vent !