Attendons pour voir… Nabil El Bousaadi Dans l’euphorie du printemps arabe – que d’aucuns avaient, à juste titre, appelé «printemps à barbe» dès lors qu’il avait permis, à plusieurs mouvements islamistes, de sortir de l’ombre pour tenir le haut du pavé, dans divers pays arabes – les adolescents syriens qui avaient écrit, sur le mur…