La capitale du Souss retient récemment l’attention autour de l’arbre emblématique de toute la nation, de par son immense potentiel nutritif, cosmétique, forestier et fourrager de hauteintensité.
Deformetrapue pareil à un parasol, de racine profonde et résilience, l’arganier puisque c’est de lui qu’il s’agit, renfermé toutes ces caractéristiques qui font de lui une espèce végétale de renommée mondiale. Dans ce sillage spécifique, le salon international de l’arbre comopolite a lieu en terre reconnue pour son lieu prisé, en présence de nombre d’institutionnels et d’associations-coopératives en vue de parler encore et toujours de cet arbre mythique.
Un vaste parterre d’acteurs dans les dimensions de la production, de l’industrialisation et de la commercialisation de la plante et sesmultiples dérivées, ainsi que flopée d’académiciens et de chercheurs, ont meublé ces moments de forte intensité festive et cognitive. Cette activité à caractère socio-économique vise à innover les idées scientifiques et techniques entre institutionnel et professionnel autour de cetacabit floral afin de mettre sur orbite des assises solides et mettre en pratique laqualité programmatique liée à la chaîne d’Argane.
Cette dynamique traduit, en fait, l’ancrage de la série de végétation au royaume, dans le cadre du patrimoine culturel et agricole dont l’UNESCO avait statué l’aspect vital en 1998, en tant que patrimoine immatériel de l’humanité. Il faudra dire aussi que cette reconnaissance universelle est destinée à tous les intervenants qui consacrent leur existence à préserver cet espace névralgique qui s’étend sur 2,5 millions d’hectares dont plus de 800 sont destinés à l’arbre en question.
L’aspect socio-économique et environnemental de la réserve d’Argane est considérable, ce qui pousse à faire de cet espace un laboratoire ouvert dans lequel s’activent nombre d’acteurs pour relever les défis, notamment, la gestion durable des ressources et l’endiguement des effets des changements climatiques, la prise en considération de l’instabilité des marchés internationaux, la modernisation des technologies et les procédés de production, la problématique de l’intégration de la femme dans la répartition équitable des valeurs ajoutées, la nécessité de généraliser à recherche scientifique au niveau des différents axes de la chaîne…
Dans le but d’accompagner toutes ces actions, il a été procédé à des incitations financières dans le cadre du fonds de développement agricole pour le soutien d’achat d’ex arbustes d’argentiers en moyenne équivalente à 6000 dirhams pour l’hectare, à plus de 80% de terres bout et 9000 dirhams pour l’hectare relatifs aux terres d’irrigation.
D’autres chiffres inhérents à cette espèce végétale ont été cités au cours de ces journées d’échange et de concertation entre acteurs institutionnels et professionnels autour de l’organise, en particulier les conditions d’export et des coopératives.