Soutien et appréciation à l’action du Comité Al Qods
La réponse de la communauté internationale à l’ignominie de l’Algérie et son acharnement contre le Comité Al Qods, parce que présidé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a été immédiate, sans ambages et simultanément tant à Ryad qu’à New York.
En effet, le communiqué adopté lundi matin par le Comité exécutif de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI), réuni en urgence à Riyad, a eu l’effet d’une bombe qui a désarçonné l’Algérie et consacré sa solitude internationale. L’OCI, dont dépend le Comité Al Qods, a tout simplement rejeté le délire de l’Algérie et consacré la centralité du Comité sous le leadership de son Président SM le Roi Mohammed VI.
En outre, le rôle central de Sa Majesté le Roi, en Sa qualité de Président du Comité Al Qods, a résonné lundi également au Conseil de Sécurité lors de son débat trimestriel sur la question palestinienne. Les ambassadeurs de plusieurs pays africains, arabes et islamiques ont hautement mis en relief l’importance du Comité Al Qods et salué grandement l’action du Souverain pour défendre la cause palestinienne et la ville sainte et ses habitants.
Leurs déclarations ont constitué un démenti éclatant aux mensonges de l’Algérie contre le Comité et un désaveu cinglant contre sa dérive haineuse anti-marocaine et sa prise en otage de la cause palestinienne dans l’unique but de porter atteinte au Maroc.
Ainsi, le représentant du Gabon, membre du Conseil de sécurité, a salué le rôle de SM le Roi Mohammed VI en tant que Président du Comité Al Qods dans la préservation du statut particulier de la ville sainte comme symbole du patrimoine commun de l’humanité, de la coexistence pacifique entre les adeptes des trois religions monothéistes, et comme lieu de dialogue et de respect mutuel.
« Il est nécessaire de préserver les particularités d’Al-Qods en tant que ville de coexistence pacifique tel que souligné dans l’Appel d’Al-Qods que SM le Roi Mohammed VI avait signé avec Sa sainteté le Pape François lors de sa visite à Rabat le 30 mars 2019 », a-t-il affirmé.
De son côté, le représentant des Emirats arabes unis, également membre du Conseil de sécurité, a mis en avant les efforts que déploie le Comité Al Qods, sous la présidence de SM le Roi, en faveur de la préservation de la ville sainte et en soutien à ses populations.
Même son de cloche chez le représentant de l’Egypte qui a mis l’accent sur la nécessité de s’appuyer sur l’ensemble des instances arabes et islamiques concernées par Al-Qods, en particulier le Comité Al Qods présidé par SM le Roi Mohammed VI.
Le représentant de l’Arabie Saoudite, quant à lui, a mis en relief le rôle important dont s’acquitte le Comité Al Qods et son Président en faveur de la préservation des particularités de la ville sainte et la protection de ses populations.
Même position partagée par le Bahreïn dont le représentant a souligné l’importance du rôle de ce Comité dans la défense de la cause palestinienne et de la ville sainte.
Pour sa part, la représentante du Qatar a insisté sur l’importance de soutenir la ville sainte et les Maqdessis, en mettant en exergue à ce propos le rôle du Comité Al Qods présidé par le Souverain.
Dans la même veine, le représentant de l’Indonésie a relevé le rôle important joué par le Comité dans la préservation de la ville sainte, en rappelant l’Appel d’Al Qods signé par SM le Roi et le Pape François en mars 2019 à Rabat en faveur de la préservation du caractère spécifique de la ville comme symbole de tolérance et de respect mutuel entre les trois religions monothéistes.
L’observateur permanent de la Ligue Arabe, lui, a mis l’accent sur la nécessité de soutenir le rôle du Comité Al Qods.
Enfin, et comble du flagrant délit diplomatique, l’Algérie, qui a étonné durant une semaine, contre le Comité Al Qods et son Président dans toutes les réunions des Groupes régionaux, s’est muée dans un silence coupable lors de l’examen lundi de la question palestinienne devant le Conseil de sécurité.
En effet, toutes les délégations ont relevé avec grande surprise qu’après avoir bloqué les déclarations des groupe arabe, de l’OCI et du Mouvement des non-alignés, sous le prétexte fallacieux de vouloir demander une réunion du Comité Al Qods, l’ambassadeur d’Algérie n’a pas osé, ni eu le courage politique de faire une telle demande dans sa déclaration nationale, dévoilant ainsi ses véritables visées anti-marocaines que les États membres des Nations Unies ne connaissent que très bien.