«Technologie, loi et éducation: Etat et perspectives» tenu à Meknès
Les participants au colloque international organisé sous le thème : «Technologie, loi et éducation: Etat et perspectives», qui s’est déroulé du 23 au 26 janvier à Meknès, ont plaidé pour le renforcement des capacités et des compétences des enseignants dans les domaines du digital et du «E-enseignement».
Les intervenants lors de cette rencontre, initiée par l’Ecole Supérieure de Technologie (EST), relevant de l’Université Moulay Ismail (UMI) de Meknès, ont souligné, également, l’importance du développement des mécanismes de l’auto-apprentissage chez les apprentis et l’adoption du concept du projet éducatif réalisable et aux objectifs stratégiques.
L’accent a été mis, aussi, sur la nécessité de mettre à profit et de développer les méthodes et les outils techniques disponibles pour faciliter l’apprentissage, d’élaborer des programmes pédagogiques en matière du digital et des nouvelles technologiques et organiser des sessions pour le renforcement des compétences des enseignants dans le domaine.
Initiée sous format hybride en partenariat avec plusieurs établissements et instances, cette rencontre a connu la participation de chercheurs et d’experts du Maroc, de la Tunisie, de l’Algérie, de l’Irak, du Bangladesh, des Philippines, des USA, du Canada et de l’Ukraine.
La rencontre qui a vu la présentation de 135 communications dans le cadre de 17 séances scientifiques, a été l’occasion de mettre l’accent sur l’importance du rôle joué par la technologie dans les secteurs vitaux et dans le développement de l’être humain.
Elle a permis aux participants de promouvoir le partage des expériences et des connaissances en la matière pour l’élaboration de solutions scientifiques et pratiques susceptibles de contribuer au développement de l’ensemble des secteurs à l’aide des nouvelles technologies.
Plusieurs thèmes ont été abordés à cette occasion, notamment « la législation face à l’intelligence artificielle», «les répercussions de la technologie sur le milieu des affaires», «la presse électronique», «les tribunaux virtuels», «les droits de l’homme et les défis des nouvelles technologies» et «la contribution de l’intelligence artificielle dans l’amélioration de la qualité de l’enseignement».
