L’oraison funèbre d’Ali Yata Aziz ! Oh toi le plus précieux des camarades, des amis. Ainsi tu nous quittes, sans avertir, ni prévenir, nous étions pourtant ensemble jusqu’aux dernières heures de la nuit du vendredi au samedi, jusqu’au matin, où nous discutions fraternellement ensemble, comme à l’accoutumée. Jamais nous n’aurions prévu qu’il s’agissait là de notre…