Durant une bonne période, Mohamed Charef, enseignant chercheur et président de la Commission régionale des droits de l’homme dirige, avec brio et maestria, cette instance qui renferme une pléiade de démocrates dans la région. Son action aussi fugace que laborieuse s’attelle, plus particulièrement, à faire de cette valeur humaine une pièce motrice
Nabil Benabdellah, Secrétaire général du Parti du progrès et du socialisme (PPS) et ministre de l’Habitat et de la politique de la ville a été, dimanche 27 octobre, l’invité de l’émission de «Dayf Al Ahad», présentée par la chaîne Al Aoula. Connu pour son franc-parler, le numéro Un du PPS a répondu à toutes les questions sans ambages ni
La députée Nouzha Skalli, membre du Groupe du progrès démocratique à la Chambre des représentants, membre du Bureau politique du Parti du progrès et du socialisme, ancienne ministre du Développement social et de l’enfance, de la Famille et de la solidarité, a reçu dans lundi, au siège du GPD à Rabat, une délégation du National democratic institute (NDI).
La lecture des grands quotidiens du monde, durant la précédente semaine, a permis de repasser les grands problèmes auxquels sont confrontés les gouvernements en Europe, aux Etats-Unis mais aussi en Tunisie. La vétusté du modèle économique au Royaume-Uni, l’émergence de la Pologne comme la Chine d’Europe, le bilan économique du
Le Morocco Tennis Tour entrant dans le cadre du Circuit International Mohammed VI, a été une affaire des joueuses de l’Est européen. La Russe Kan Victoria a remporté le titre de cette étape féminine face l’Ukrainienne Olga Savchuk au terme d’une finale disputée, samedi, en 2 sets (6/4, 6/4).
A la suite des incidents anti-sportifs ayant entâché la rencontre des quarts de finale de la Coupe du trône ayant opposé le Wydad de Casablanca au Difaâ Hassani Jadidi au complexe Mohammed V, la commission centrale de discipline de la FRMF a suspendu Johan Langoualama (DHJ) pour 5 matches dont 3 fermes avec une amende de 3.000
Bien du temps a passé. On se lamentait, on s’isolait, on se morfondait, chacun dans sa ville, chacun dans son coin, nous les écrivains marocains. Empêtrés dans nos papiers noircis et dans nos textes qui nous revenaient en pleine figure. Là, en ces temps, on commence à renaître, à souffler, à voir le bout du tunnel. L’UEM renaît, reprend du service, interfère, fédère.
