La culture PPS !

Durant tout son parcours militant, le PPS a toujours su vaincre les écueils qui se sont dressés sur son chemin, avec cran et sérénité. Malgré les arrestations, l’exil, la torture, l’oppression et l’intimidation, le parti est constamment sorti indemne, la tête haute et la peau fort endurcie.

Tout au long de cet itinéraire infernal, il a appris à laisser passer le déluge, tout en renonçant à se montrer morne encore moins rancunier envers ses bourreaux les plus sanguinaires. Depuis la figure de proue, feu Ali Yata jusqu’à son actuel pinacle Nabil Benabdellah, en passant par l’emblématique Ismaïl Alaoui, la locomotive, élue dans les règles de l’art, sans pression ni immixtion a conduit avec brio son train chevaleresque, dans l’unité, la concorde et l’appropriation de l’autonomie décisionnelle.

Fort consciente de son rôle de patriote à souhait, de prêcheur de vertus et de partisan du progrès et de modernité, cette entité politique, a de tout temps, priorisé les causes suprêmes de la Nation et du Peuple sur toute autre considération sectaire et politicienne. Les coups bas qui tentent de l’avilir et de l’anéantir n’ont fait que fortifier encore davantage ses principes et ses convictions, même si les rapports de force ne lui sont pas toujours favorables.

Ce n’est nullement pas aujourd’hui qu’un énième « séisme » va enfreindre une règle reconnue dans la marche d’une école pondérée, honnête et visionnaire. «Il ne faut pas insulter l’avenir», dirait-on dans des circonstances de crise, d’autant plus que le PPS a éternellement eu du respect profond des Institutions, encore plus quand il est question de celle de la plus Haute Autorité du Royaume. Cessons donc de polémiquer, dans la malveillance, sur des traditions et des fondements immuables qui ont, à perpétuité, fait l’identité du parti, bien forgée et huilée pour les conjonctures les plus moroses!

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One Comment;

  1. Mokhtar Homman a dit:

    Texte apolitique qui passe sous silence la rupture identitaire et ideologique fut le renversement d’alliances et de programme en entrant au gouvernement du PJD et des partis libéraux. Fin 2011 le PPS abandonnait la gauche et le projet socialiste pour embrasser le libéralisme et l’obscurantiste dans les faits. Ainsi à t il était opposé aux luttes syndicales et se retrouve responsable de la cise d’Al Hoceima. De ce fait il a renié son passé et ses valeurs pour être désormais prisonnier du bon vouloir du PJD. Rien ne sert d’ecrire des textes auto complaisants pour masquer la réalité d’une déviation droitière.

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