«On ne change son compagnon que par pire que lui !», dit l’adage populaire de chez nous. Ce dicton conviendrait, peut-être, au sort de la cité d’Agadir qui boitille, en ces moments, à propos de la gestion des affaires publiques. Lors du mandat précédent, on reprochait au maire de la ville qu’on surnommait de son…