Dans la présente, on évoquera l’état du Centre Hospitalier Régional d’Agadir qui, durant des décennies, ne cesse de tirer son épingle du jeu, malgré les multiples contraintes. Aujourd’hui, il atterrit dans les mains d’un gestionnaire aguerri dont les apports avérés font admirer aussi bien le personnel que le patient.

Fort conscient de l’acuité de sa mission, il se démène comme un beau diable afin de s’en acquitter, non sans grande peine, vu moult carences en termes de cadres de santé et de matériel de soins. Il faut bien dire que le directeur de l’hôpital en question s’y met avec beaucoup de cœur et de métier.

En plus de ses tâches administratives qu’il mène avec tact et doigté, il met également la main à la pâte dans sa vocation préférée, en tant que chirurgien chevronné, aux côtés de ses collègues. Il n’hésite pas non plus à faire partie des campagnes médicales menées par la société civile, dans les patelins les plus reculés, ainsi que les expéditions du ministère tant aux zones sinistrées du territoire, tel que Imilchil ou encore dans des pays en détresse.

Une telle compétence force le respect de tout son entourage au sein et hors de la structure de santé, pour ses qualités de plus en plus, confirmées. Son humilité, son affabilité et surtout son attachement aux causes des démunis font de lui un réel modèle de civisme qui sort de l’ordinaire. Ceci étant, on comprend mal la conduite hargneuse d’une créature syndicale qui s’en prend à cette sommité exemplaire, à travers des écrits dénués de vérités et de sens de mesure.

Visiblement agacées par la réputation humaniste dont jouit leur vis-à-vis, ces âmes obscures tentent vainement de le discréditer, par le biais de quolibets dérisoires, au point de se faire tourner en dérision par l’ensemble du staff médical et infirmier.

Solitaires dans une marée de dénégation infondée, ces renégats enragés se fourrent le doigt dans l’œil devant l’attitude irréprochable et intègre du directeur dont l’audit vient témoigner, lors de ses récentes tournées d’inspection à l’hôpital. On ne peut alors que déplorer ce genre de comportements destructeurs dans un secteur public, déjà rongé par la pénurie et la privation. Au lieu de s’ingénier au service des malades en quête de secours de toutes les composantes de l’hôpital, il y a toujours des trouble-fêtes qui ne font que semer la désunion et la discorde au sein des établissements sanitaires dont celui d’Agadir constitue un exemple de bonne gouvernance, en dépit d’énormes insuffisances qui taraudent encore son évolution.