K. Kh
Mastercard a publié les résultats de son indice de confiance des PME Mastercard pour la région Moyen-Orient et Afrique (MEA). Ces résultats indiquent clairement une amélioration du sentiment que la plupart des entreprises de la région MENA quant à la croissance future.
Pour les 12 prochains mois, près de 81% des petites et moyennes entreprises (PME) de la région Moyen-Orient Afrique du Nord (MENA) sont optimistes quant à la croissance future. Cet optimisme est alimenté par le potentiel de croissance de meilleures données, de l’accès au crédit et de l’amélioration des compétences du personnel. En effet, la confiance des PME dans la région MENA est à la hausse sachant que 77% prévoient des revenus qui augmenteront ou se maintiendront, alors que plus de la moitié (56%) prévoient une augmentation.
« Alors que de nombreuses économies régionales entrent progressivement dans la phase de normalisation et de croissance et que les restrictions sociales continuent de s’assouplir, les PME de la région MENA ont identifié de meilleures données et connaissances (42%), un accès plus facile au crédit (41%) et la formation du personnel (40%), comme trois principaux moteurs de la croissance. Cela met en évidence les opportunités pour les petites entreprises qui découlent à la fois de la transformation interne ainsi que des réglementations et des tendances du secteur », indique Mastercard.
Dans ce sillage, pour soutenir les PME dont elles ont besoin pour passer et se développer dans le numérique, Mastercard a promis 250 millions de dollars et s’est engagée à connecter 50 millions de micro, petites et moyennes entreprises dans le monde à l’économie numérique d’ici 2025 en utilisant sa technologie, son réseau, son expertise et ses ressources à l’appui de l’objectif de l’entreprise de construire une économie numérique plus durable et inclusive. Dans le cadre de ces efforts, Mastercard se concentre sur la connexion de 25 millions de femmes entrepreneurs. Pour de nombreuses petites entreprises, la réduction de leur dépendance par rapport au cash, grâce à l’acceptation des paiements numériques, a joué un rôle majeur dans leur capacité à être payées et à maintenir leurs revenus.