L’Histoire va retenir qu’un Accident Vasculaire Cérébral, quelle qu’en soit l’intensité, ne peut avoir raison d’un chef d’Etat africain. Ainsi, après qu’un certain Bouteflika soit resté aux «commandes» de l’Algérie plus de cinq années après qu’un AVC lui ait fait perdre aussi bien sa mobilité que son élocution, c’est le président gabonais Ali Bongo Ondimba…