Les émissaires doivent à présent rentrer rendre compte de leurs trois jours de discussions à la Communauté des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) qui les a dépêchés à Bamako pour réclamer un «retour immédiat à l’ordre constitutionnel» après le coup d’Etat du 18 août, dernier épisode d’une dégradation politique, sécuritaire et économique, source d’inquiétude…