Budapest est le théâtre d’incessantes manifestations depuis que, le 12 décembre dernier et pour faire face à l’importante pénurie de main d’oeuvre, le gouvernement de Viktor Orban a apporté un amendement au Code du travail considéré comme étant «esclavagiste» par les hongrois dès lors qu’il permet aux entreprises d’imposer légalement à leurs employés jusqu’à 400…