«La corruption, c’est le manque de dignité, c’est l’absence de scrupule». Ces mots, tirés des «Amours sorcières» de Tahar Benjelloun (2003), résument tristement ce que beaucoup de Marocains considèrent comme le plus grand mal qui ronge leur pays: la corruption. Le mot seul jette un froid aussitôt qu’il est dit. Le Maroc, qui célèbre samedi…