Après trois semaines de manifestations, dénonçant la «persécution» menée par les leaders de l’opposition contre ses proches et déplorant l’«atteinte contre la démocratie et la paix sociale» et un «odieux» coup d’Etat, Evo Morales, 60 ans, à la tête de la Bolivie depuis 2006, a annoncé dimanche dernier sa démission avant de prendre le lendemain…