La population de l’Oulja, aux environs d’Azemmour, croyait que la chanson de Bahija Idriss, «L’eau coulait devant soi … taraudé de soif comme scarifié par le feu»*, était une allusion au sentiment de l’amour dans le respect du contexte d’alors. Elle se rend compte, dans le contexte actuel, que l’allusion relève du réel vécu par…