Quelle mouche a bien piqué ces bourrus pour s’en prendre si acerbement à Charafate Afailal, un pinacle affable qui ne mérite point ce traitement aussi féroce que vindicatif ? C’est trop, hyper trop ! On croyait que cet assaut était passager, mais la récidive dépassait toutes les limites tolérables. Ce n’est plus une simple critique à l’adresse d’un propos jugé de travers.Bien au-delà ! C’est une réelle acrimonie opiniâtre contre, non seulement la malheureuse ministre hargneusement dépecée, mais également contre son parti en direction duquel les obus calomnieux fusent de toutes parts.
Ces véreux excités, couteaux étirés, s’adonnent, sans vergogne, à leur vile manœuvre, contre celle qui, de l’avis de tout le monde, se fait hisser en modèle de détermination et de dévouement pour sa patrie et son peuple. Depuis son bas âge, elle gravissait les marches de la notoriété humaine, sans relâche, alors que des chenapans qui, aujourd’hui, tentent vainement de l’avilir, se tenaient en dehors de l’effort national vers la démocratie, le progrès et la justice sociale. Ce parcours laborieux qui a taraudé, de long en large, la vie d’une militante, encore en fleur de l’âge, n’a pas, en fait, compté sur le carnet sordide des lyncheurs, depuis déjà des semaines.
Quel sacrilège si mortifiant a-t-elle colporté pour subir cet immonde supplice, sans aucune mansuétude pour cette maudite anicroche dont elle s’est, ipso facto, rétribuée?Il y a bel et bien, anguille sous roche, dans toute cette affaire scabreuse ! Charafate Afailal, le zénith radieux qui crève l’écran par sa rutilance en panache, paie, aujourd’hui, les frais de la bassesse dont pullule la réaction marocaine, sous toutes ses formes. Elle contrarie par son rayonnement. Elle importune par son flamboiement !Tout le désastre pour ces fripouilles est bien là !
De surcroît, cette ardente acmé qui enclenche tant d’hostilités, n’est nullement née de la dernière pluie. Elle appartient à cette septuagénaire école qu’est le PPS que nul ne peut froisser ni éclabousser, à coups d’affabulations trompeuses. Ni les tortures coloniales, encore moins les géhennes des années de plomb n’ont pu étouffer cette voix éternelle de la Probité. Charafate Afailal, fécondée dans ce bercail magnanime, ne saurait, non plus, se faire intimider par des offenses aussi outrancières soient-elles, car elle s’est chauffée, des années durant,de l’ébène de cette école inexhaustible.
Lors de la fameuse émission dont elle était l’hôte de marque, elle avait fait étalage d’une haute maitrise des divers dossiers, notamment celui dont elle est en charge. Une prestation admirable qui suscite, de bout en bout, profond emballement dans les ménages. Comment une jeune ministre, si ravissante et résolue, parvient-elle à briller de mille feux, s’esclaffent ses compatriotes, partout dans le pays ? Cette prouesse criante, les renégats n’en parlent pas dans leur sauce diffamatoire. Cet apogée lumineux, les scélérats n’en pipent mot dans leur hideuse artillerie. Ils enfoncent encore plus le clou de l’animosité, en sponsorisant les partages et en essayant de nuire à leur cible du jour et son parti. Une peine vaine, en tous cas !
On ne peut si bassement éteindre cette flamme étincelante qui se fait connaitre encore davantage et qui fait de l’eau son talon d’Achille, en dépit des détracteurs. Allez voir ailleurs, la pierre que vous tentez de corroder, est compact tel un roc ! Son parti lui a appris, dès son jeune âge, comment se forger et se prémunir des intempéries sournoises !
Saoudi El Amalki