Une menace sérieuse pour la santé des femmes

 Au Maroc l’ostéoporose touche  37,9% des femmes ménopausées qui  seront  victimes durant leur vie d’une fracture liée à cette maladie des os fragiles.
Or l’information sur cette maladie des os fragiles  reste insuffisante. La journée mondiale de l’ostéoporose qui a été célébrée le 20 Octobre 2013 est l’occasion de passer en revue cette maladie dont on parle peu chez nous.

Une maladie silencieuse

L’ostéoporose est une maladie caractérisée par une faible masse osseuse et par une dégradation de la microarchitecture du tissu osseux qui induit un risque accru de fractures. L’ostéoporose survient lorsque la masse osseuse diminue plus rapidement que le corps n’est capable de la renouveler, ce qui conduit à une perte de solidité osseuse. Le squelette s’en trouve fragilisé, de sorte qu’un léger choc ou une chute peut suffire à provoquer une fracture (dite fracture de fragilité). La présence d’une ostéoporose n’est trahie par aucun signe ou symptôme particulier, jusqu’à ce que survienne une fracture. C’est pourquoi l’on parle souvent de  maladie silencieuse.  Pathologie asymptomatique qui touche aujourd’hui près d’une femme sur deux et qui est souvent diagnostiquée trop tard, la journée mondiale de l’ostéoporose est l’occasion d’informer, de sensibiliser plus la population marocaine des risques de cette maladie.

Une maladie fréquente

Dans le monde, on estime à 200 millions le nombre de femmes concernées par l’ostéoporose. Cette maladie touche une femme sur trois après la ménopause. On estime qu’une fracture ostéoporotique se produit toutes les 3 secondes dans le monde.  À partir de 50 ans, une femme sur trois et un homme sur cinq subiront une fracture au cours du reste de leur vie. Pour les femmes, ce risque est plus élevé que les risques combinés de cancer du sein, de l’ovaire et de l’utérus. Pour les hommes, ce risque est supérieur au risque d’être atteint d’un cancer de la prostate. Environ 50% des personnes ayant subi une fracture ostéoporotique en subiront une autre, et le risque de nouvelles fractures s’accroît de manière exponentielle à chaque nouvelle fracture  Au Maroc, les études réalisées ont conclu à une prévalence de 37% chez les femmes de plus de 50 ans et de 60% chez les plus de 60 ans. L’ostéoporose survient 10 ans plus tôt que la moyenne mondiale estimée par l’OMS.  Ce profil en fait une affection encore plus préoccupante au Maroc.
On devrait s’attendre à une explosion des fractures ostéoporotiques dans moins de 20 ans».
Au Maroc, la carence en vitamine D  concerne 95% des femmes. La Société marocaine de rhumatologie conseille une supplémentation en calcium associée à la vitamine D.

Les conséquences de l’ostéoporose

L’ostéoporose est surnommée la  maladie silencieuse  parce que la perte osseuse elle-même n’entraîne pas de symptôme particulier. C’est le risque élevé de fractures qui rend cette maladie menaçante. Ces fractures se produisent le plus souvent au poignet, à la hanche et aux vertèbres et leurs conséquences sont bien réelles :Déformation de la colonne vertébrale Difficultés respiratoires et digestives dues à cette déformation  Diminution marquée de la taille (grandeur) Douleurs aiguës ou chroniques reliées aux fractures Invalidité et perte d’autonomie Perte d’estime de soi (changement de l’image corporelle, perte d’autonomie)Complications associées aux fractures de la hanche : autres problèmes de santé et parfois même la mort.

L’ostéoporose n’est plus une fatalité

Contrairement à ce que l’on pourrait croire, l’ostéoporose n’est plus une fatalité liée au vieillissement.
De très grandes avancées dans le domaine de la prévention, du diagnostic et des traitements ont permis d’améliorer considérablement la prise en charge de l’ostéoporose.
En effet aujourd’hui un examen très simple, efficace, indolore permet de dépister l’ostéoporose.
On parle de plus en plus de dépister le cancer, l’hépatite C, le Sida, la tuberculose.
Dépister, le mot est sur toute les lèvres, mais personne ne pense sérieusement a parler d’une maladie aussi fréquente et aussi handicapent comme l’ostéoporose.
L’ostéodensitometrie, un examen radiologique  permet pourtant de repérer les femmes dont les os commencent a se fragiliser.
La communauté médicale s’accorde à reconnaître l’utilité et la fiabilité de l’ostédensitométrie.

Le diagnostic er prise en charge

La densitomètrie osseuse, est  un examen médical qui mesure la densité de l’os, c’est-à-dire son contenu minéral grâce aux rayons X. C’est aujourd’hui l’examen de référence pour assoir le diagnostic de l’ostéoporose.
L’ostéoporose est diagnostiquée au-delà d’un certain seuil  que votre médecin pourra vous communiquer
La prise en charge de l’ostéoporose consiste  en des mesures hygiéno-diététiques :
Supplémentassions en vitamine D et en calcium : L’association de calcium et de vitamine D est fréquemment conseillée pour corriger un déficit, notamment chez les plus âgés. L’utilisation de vitamine D permet en effet de stimuler l’absorption intestinale du calcium. Ils sont le plus souvent associés à d’autres traitements, une fois que l’ostéoporose est diagnostiquée.Exercice physique : privilégier une marche rapide de 30 min par jour
Eviter les facteurs de chute par exemple lutte contre la baisse de l’acuité visuelle ou une carence en vit D
Traitement médical
Il est conseillé de prescrire un traitement pouvant réduire le risque de première fracture dans les 5 à 10 années suivant le diagnostic.
Il existe sur le marché, plusieurs traitements qui ont prouvé une certaine efficacité anti-fracturaire  comme les biphosphonates  qui sont généralement prescrits pour une durée de 3 à 5 ans. Une réévaluation après l’arrêt du traitement est recommandée après 1 à 2 ans.
Mais tout traitement reste du ressort de votre médecin traitant

Comment prévenir l’ostéoporose ?

Le renouvellement du tissu osseux se produit tout au long de la vie. La maladie n’est donc pas irrémédiable et peut être prévenue en prenant soin de suivre une hygiène de vie correcte.
Mangez des aliments riches en calcium
Le calcium est absolument nécessaire à la bonne santé du squelette. Les apports en calcium doivent être suffisants tout au long de la vie, mais plus particulièrement dans les vingt premières années, où la constitution d’un capital osseux optimal est déterminante pour l’avenir et la prévention  de l’ostéoporose Au besoin, le médecin peut prescrire des compléments de calcium pendant cette période. L’apport quotidien en calcium est trop souvent inférieur à ce qu’il devrait être, c’est-à-dire environ 1000 à 1200 mg par jour. L’apport conseillé en calcium pour les personnes de plus de 50 ans est de 1200 mg par jour.
Les produits laitiers, les fromages et les eaux minérales sont les meilleures sources de calcium. Les produits laitiers écrémés ou demi-écrémés en apportent autant que ceux fabriqués à partir de lait entier, sans les inconvénients des matières grasses.
Les amandes et autres graines, ainsi que les fruits séchés, sont également des sources de calcium. Les poissons gras (sardine, maquereau, par exemple) apportent  de la vitamine  D et  des omégas 3 qui améliorent l’absorption du calcium ainsi que sa fixation sur les os, mais c’est l’exposition à la lumière du soleil qui est nécessaire

Faites de l’exercice

L’activité physique renforce la solidité des os, en particulier les activités qui provoquent de petits impacts sur les os : course à pied, tennis, randonnée, step, etc.
L’activité physique a aussi l’avantage d’améliorer l’équilibre, minimisant ainsi les risques de chutes.
Quand le sport devient difficile, il faut continuer à faire un peu de gymnastique chez soi, marcher souvent et à bonne allure, prendre les escaliers plutôt que l’ascenseur. La natation est utile si l’on souffre d’un tassement des vertèbres.

Arrêtez de fumer

Le tabac accélère la perte osseuse. De plus, chez les femmes qui reçoivent un traitement hormonal de substitution pour soulager les troubles de  ménopause il accélère l’élimination des estrogènes et augmente le risque de maladie cardiovasculaire.

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Nouvelles technologies pour traiter les varices
C’est le moment de réagir !

Passer une journée debout n’est pas évident, c’est pourtant ce que beaucoup de personnes endurent car la nature même de leur travail les oblige à la station debout. C’est le cas des enseignants, celui des chirurgiens, des infirmières, des maçons, des peintres, des coiffeuses et de tant d’autres métiers.En fin de journée, c’est le calvaire, les jambes sont lourdes, les chevilles enflées, aux fourmillements des membres, viennent s’ajouter des douleurs, des crampes au mollets surtout la nuit. Et puis au fil des ans, sans crier gare, apparaissent des varices qui posent des problèmes tant de santé que d›esthétique surtout pour les femmes.Des solutions existent, c’est le moment d’agir.

Des affections très courantes

Vous devez vous faire retirer des varices ? Sachez que les techniques actuelles   ont  énormément évolué,  fini donc le temps ou pour enlever des varices certains médecins procédaient  par stripping, une intervention a arracher la varice, mais qui peut avoir des suites assez lourdes, traumatisantes et parfois handicapantes pour le malade.
Fini cette approche thérapeutique, aujourd’hui l’acte chirurgicale est moins lourd, plus efficace et offre une grande sécurité pour le malade.
C’est ce qu’ont tenu a rappeler lors d’une conférence de presse tenue le 22 octobre à Casablanca, deux éminents praticiens , spécialistes des maladies veineuses et qui sont connus et reconnus par leurs pairs a l’échelon international et national , il s’agit  Dr Oumnia Benkirane et Dr Gabriel Lasry, respectivement angiologue-phlébologue et chirurgien, qui ont été invité par Guess clinique afin d’animer cette table ronde autour d’un thème important et répondre par la même occasion aux questions des journalistes présents  
Varices et jambes lourdes sont  des affections très fréquentes. On estime que trois personnes sur quatre auront des varices au cours de leur vie.
Inesthétiques, les varices se traduisent par des veines visibles à la surface de la peau.
Souvent sans symptômes, la stagnation du sang dans les membres inférieurs peut néanmoins favoriser l’apparition de complications.Il faut rappeler cependant que pour une personne sur quatre les symptômes seront suffisamment gênants pour justifier un traitement médical ou une intervention chirurgicale.

Qu’est-ce qu’une varice ?

Le terme varice est dérivé du mot grec signifiant “grape like” (comme des grains de raisins). Les varices sont des vaisseaux sanguins dilatés qui sont visibles et qui peuvent être aussi palpables. Elles sont généralement présentes dans les jambes et sont plus communes chez les femmes, chez qui elles peuvent provoquer une gène importante. Au départ elles sont de fines rayures verdâtres dans les veines et ensuite elles grossissent. Dans certains cas leur taille peut atteindre quelques centimètres. 50% des patients peuvent ressentir un tiraillement, de la douleur, des démangeaisons, une enflure à la cheville, un eczéma, des veines en toile d’araignée autour de la varice et la couleur de la peau change autour des veines.

Quels sont les métiers à risque ?

Quand on parle de dilatation des veines au niveau des membres inferieurs, c’est-à-dire de varice,  on fait souvent référence à certains métiers plus qu’à d’autres  et il va de soi que  les personnes qui exercent ces métiers sont plus exposées que d’autres qui passent leur journées assis.
Les fonctions les plus exposées sont celles qui imposent aux agents, aux salariés la station debout, immobile ou avec piétinement.
C’est notamment le cas pour les enseignants, infirmières de bloc opératoires, Journalistes, coiffeuses, blanchisseuses, hôtesses d’accueil… qui sont des professions particulièrement touchées par les troubles veineux. Les métiers dans la police, la gendarmerie, les services de surveillance, les ouvriers ne sont pas épargnés non plus. En effet, rester debout pendant de longues heures, porter de lourdes charges (10 kg et plus), piétiner, travailler dans une ambiance chaude et humide, exposent à des risques importants.
La station debout favorise la stase du sang (sous l’effet de la pesanteur) dans les membres inférieurs et le mécanisme physiologique qui permet de ramener le sang au cœur ne peut plus fonctionner correctement. La nature du poste de travail intervient tout autant que les autres facteurs de risque (sexe féminin, prédisposition familiale, grossesse, hygiène de vie) dans le développement d’une maladie veineuse.
Si l’on met classiquement l’accent sur la position debout prolongée, il ne faut pas oublier que la station assise prolongée a également des conséquences importantes, car elle favorise le relâchement du tonus musculaire, entraînant une dilatation des veines et partant l’apparition de varices et nombreux sont les journalistes qui souffrent de varices.

Les varices représentent-elles
des risques pour le patient ?

Chez la plupart des gens les veines ne produisent aucun symptôme, à part des considérations cosmétiques. Mais certains patients développent des symptômes, des douleurs, des crampes la nuit, une fatigue dans les jambes, une enflure des chevilles ou une sensation de lourdeur. Plus rarement une décoloration peut apparaître le long de la varicosité, un eczéma le long des veines, un saignement et une ulcération due au traumatisme dans les veines superficielles dilatées. Certains peuvent développer une thrombo-phlébite, c’est-à-dire une inflammation le long des veines qui peut être très douloureuse.

Causes et symptômes des varices

La maladie variqueuse est causée par laffaissement de la paroi des veines superficielles et par l’inefficacité du système des valvules. Il se produit alors, surtout en position debout, une fuite de sang de la profondeur du membre vers la surface, dans les veines superficielles qui se dilatent peu à peu pour devenir de véritables poches de sang.
Ce reflux de sang de haut en bas du système veineux superficiel et sa stagnation dans les « lacs »veineux expliquent :
1/ Les douleurs et lourdeurs, les fourmillements et, plus rarement, les crampes;
2 / Les gonflements des chevilles;
3/ Les troubles cutanés : eczéma et ulcères variqueux, plaques brunes, taches et indurations (durcissement des tissus); l›évolution vers la thrombose et même l›embolie pulmonaire.
Le fait d’enlever ces varices et de fermer les « fuites » améliore la circulation veineuse du membre.Ces veines superficielles drainant peu de sang quand elles sont saines peuvent être supprimées sans problèmes, a fortiori quand elles sont malades et qu›elles n›assurent plus la circulation sanguine correctement. Les veines profondes effectuent le relais à condition de ne pas être obstruées par des caillots, à la suite d›une phlébite profonde par exemple. Contrairement à ce que l’on peut entendre, l›élimination des varices (superficielles) malades améliore la circulation veineuse.

Quel traitement choisir ?

En fonction du stade de la maladie, le traitement des varices sera médical ou chirurgical. Il existe quatre piliers pour le traitement médical des varices :
L’hygiène de vie.
La contention.
Les toniques veineux.
La sclérothérapie.
1 /  L’hygiène de vie
La pratique régulière du sport est fortement recommandée, en évitant les sauts sur place et les vêtements trop serrés. Il est aussi conseillé de surveiller son régime alimentaire, d’éviter le surpoids, de privilégier les fibres (prévention de la constipation), les aliments riches en vitamine E (poisson gras).
Enfin, il faut adapter sa posture en évitant la position debout prolongée, le piétinement, la position jambes croisées l’une sur l’autre et en privilégiant les petits talons de 2 à 3 cm.
2/ La contention élastique ou bas à varices
Le port de bas à varices est fondamental car la pression dégressive exercée de bas en haut empêche la descente du sang vers le bas de la jambe.
D’énormes progrès esthétiques ont été réalisés récemment au niveau des bas à varices.
Plusieurs astuces permettent de supporter les bas à varices : bas mis au réfrigérateur, application de gel glacé sur le bas à varices, port uniquement pendant la journée, par exemple le matin puis en fin d’après-midi ou le soir, modèle pied ouvert.
3 /  Les toniques veineux
Le traitement par les toniques veineux est un simple traitement d’appoint des varices.
4 /  La sclérothérapie
Elle consiste en l’injection d’un produit dans la varice : ce produit irrite «la paroi» de la varice, « la sclérose », et, grâce à l’irritation de l’endo-veine, entraîne l’adhésion des parois et la fermeture de la veine. Cette action a l’avantage d’être simple et rapide d’action. Elle est cependant limitée aux petites varices.

La chirurgie mini-invasive

Il n’y a pas de technique plus efficace qu’une autre. Tout dépendra du bilan fait par l’angiologue au vu de l’examen de vos jambes et des résultats de l’échographie Doppler, ce qui permettra de choisir la technique la plus adaptée en fonction du stade de la maladie.
Quoi qu’il en soit, une opération des varices ne peut être considérée comme réussie que si elle a un bon résultat esthétique, lequel peut être obtenu grâce à :
L’anesthésie locale par tumescence, qui permet d’opérer les varices sans saignement en évitant les hématomes et les douleurs.
La pratique d’une « cartographie » précise des varices en préopératoire permettant de bien repérer les varices pour réaliser des micro-incisions punctiformes et ne retirer que les veines irrécupérables.
Ce sont essentiellement ces deux éléments (anesthésie locale par tumescence et échographie Doppler) associés à une longue expérience de chirurgie douce et peu traumatique qui permettent d’avoir le meilleur résultat esthétique.Aujourd’hui, on ne devrait plus voir de grandes cicatrices inesthétiques et de récidives.Le grand principe est de pratiquer une échographie Doppler devant toute varice afin de définir le sens de circulation du sang dans la veine (en sachant que le rôle des veines est de ramener le sang et les déchets de bas en haut vers le cœur et les reins).Quand une inversion du sens du sang est décelée à l’échographie Doppler, il ne sert plus à rien d’envisager des scléroses ; il faut « fermer le robinet » qui alimente les varices. Cette fermeture aujourd’hui doit se faire sous anesthésie locale pure, autour de la veine, sans péridurale, sans anesthésie générale, ce qui ne nécessite aucune hospitalisation et l’anesthésie locale par tumescence permet de sortir le soir en marchant normalement.
Aujourd’hui, la chirurgie des varices doit être : A traumatique Sous anesthésie locale par tumescence Sans hospitalisation.

A propos du docteur Gabriel Lasry

Avec une expérience de 20 ans en chirurgie vasculaire, le docteur Gabriel Lasry est un chirurgien spécialiste reconnu des maladies veineuses en France.
Il est spécialisé dans la cure des varices en chirurgie mini-invasive sous anesthésie locale, ce qui permet l’ablation des veines malades.
Au lieu d’être arrachée comme lors d’un stripping, cette technique atraumatique permet à la veine d’être retournée comme un gant, ce qui permet de respecter son environnement (la graisse et le nerf autour de la veine ne risquent pas d’être touchés).
Le docteur Lasry est ancien interne et chef de clinique des hôpitaux de Paris, membre du Collège de Chirurgie Vasculaire, de la Société de Pathologie Vasculaire et de la Société Française de Phlébologie, et inscrit au Conseil de l’Ordre marocain.

Oumnia Benkirane

Angiologue-phlébologue formée en France, le docteur Oumnia Benkirane a rejoint l’équipe du docteur Gabriel Lasry. Elle réalise :
L’échographie Doppler, le diagnostic et le repérage préopératoire.
Les scléroses, micro-scléroses et le laser cutané.
Guess Clinic
Guess Clinic adopte un concept novateur qui associe un plateau technique ultramoderne aux exigences d’un environnement hôtelier haut de gamme ainsi qu’à une équipe professionnelle compétente.

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