36eme édition du Med Avenir du COC Tennis
C’est une ambiance démesurée que vit le COC Tennis qui organise son traditionnel tournoi junior Med Avenir, la 36ème édition 2024. Un public fort nombreux, du beau spectacle avec la présence de jeunes issus de plus de 25 pays, une animation exceptionnelle de jour comme en soirée, bref tous les pour faire de cette édition un beau succès. Il faut dire que toutes les composantes du comité, réunies autour du président Khalid Dakhama Bennani sont sur tous les fronts pour apporter leur pierre à l’édifice.
Le premier tour du tableau final garçons a été satisfaisant pour certains marocains qui ont tiré leur épingle du jeu. C’est ainsi que le favori de cette 36ème édition, Réda Bennani, tête de série no1, s’est promené lors de son entrée en matière face à l’Espagnol Alvaro Jimenez 259ème, qu’il a gagné 6-1,6-1 sur le court n°1. Un score qui en dit long sur la suprématie du Marocain qui a rencontré hier l’Allemand Artem Lyapshin, 259ème.
Les fans du Marocain ont été nombreux à prendre d’assaut les travées du court no1 pour l’encourager. Un autre Marocain qui s’est fait plaisir, est Amine Jamji, 385eme qui a s’est qualifié au tour suivant après sa belle victoire sur le Français Evan Simon, 260ème, 7-6 (6), 6-0. Hier, il a rencontré hier l’Italien A. De Marchi, 37ème et tête de série no 4. Une victoire salvatrice pour ce jeune qui avance au classement avec beaucoup de prudence. Toujours au registre des satisfactions, on notera la qualification au tour suivant de A. Bouyakoub, qui a pris le meilleurs sur l’Italien Mattéo Schiabasi 169ème sur le score de 7-6(5), 2-6,6-4 et qui a retrouvé hier l’Espagnol Planella Hernandez, 67ème. Karim Bennani, 92eme, le partenaire de Réda Bennani en double s’est enflammé face au Finlandais Linus, 140eme sur le score de 6-7(1), 6-2, 7-6 (5). Hier il a affronté le Français Nathan Trouvé, tête de série n°2.
En revanche, chez les filles aucune des 5 marocaines en lice au tableau final, n’ont été qualifiées au tour suivant. Hier en soirée, c’est notre confrère Karim Dronet qui était la vedette du tournoi à l’occasion de la signature de son essai autobiographique « Mon invisible », une occasion propice d’échanger avec l’auteur sur son œuvre, une réflexion à la fois profonde et fascinante.
A .B