La rue algérienne continue à marcher, de plus belle, puisqu’elle refuse de se faire piétiner par l’imposture. La marche de ce dernier vendredi de la colère, imposante et rebelle, sonne le glas d’un leurre, en soubresauts mortuaires. Le son funèbre du tocsin ne cesse d’ameuter les cris de révolte dans les artères déchaînées. «On attendait…