La bourde de certaine presse algérienne qui s’en est prise à notre Institution Royale, fut fustigée, conspuée et flagellée par diverses composantes de la société marocaine, mais aussi par une bonne partie de constituantes du peuple du pays voisin. Il est bien clair que ces journaleux à la solde de la junte algéroise sont dépourvus de tout sens de déontologie ni souci de décence et de scrupule envers la mission d’éthique à laquelle ils sont censés s’attacher.
Visiblement soudoyés par leurs enrôleurs, ils font crûment usage de propos qui relèvent de l’immoralité aussi bien sur la forme que le fond de la présentation infâme. Par cette bassesse qui ne dit pas son nom, ils ne font, en fait, que se couvrir de dérision tel un paon qui fait la roue mais se découvre le derrière. Il n’en est pas pour autant, évident que ce vil simulacre des militaristes de l’est, tend vainement de dissimuler les torts d’un régime en pleine banqueroute, sur tous les plans.
En effet, cette mascarade montée de toutes pièces s’ingénie dérisoirement à taire les tares d’une entité abandonnée à son sort en dépit de son énorme potentiel. Mais, les galonnés d’El Mouradia se fourrent le doigt dans l’œil, puisque incessamment, le peuple algérien reprend en masse le mouvement de protestations contre les duperies basses de la minorité soldatesque tortionnaire. Il est vrai également que pour ces vieillots invalides, le «complexe Maroc» ne cesse de blesser leur égo belliqueux, depuis déjà des décennies.
A voir leur acharnement pathologique contre la Nation mitoyenne de tradition ancestrale, il s’avère sans point se leurrer du reste, qu’ils s’affolent de rage et de folie. Eux qui, en fait, se croyaient détenir le haut du pavé de la suprématie sur la région, mais ils refusent de se rendre à l’évidence, en voyant leur voisin caracoler dans le summum de la réussite aux plans diplomatique, économique, social…, sans jamais prétendre aspirer au leadership régional.
Pire encore, ils s’évertuent sans nulle vergogne, à manipuler une cohorte fantoche de «mercenaires», pour couper l’élan d’un pays qui lui a constamment voué soutien et aude, durant toute l’histoire coloniale, en vain.
Pour la simple raison, c’est que notre pays défend une cause d’Etat et que l’Algérie s’implique dans les caprices d’un Régime. De tout temps, l’expérience a toujours montré que l’existence d’un pays fondé sur un État militariste est inéluctablement condamné à l’anéantissement, car le peuple, tôt ou tard, noyautera un État civile, basé sur les assises de la démocratie, la liberté et la dignité. La marche du peuple algérien du 22 février courant, reprendra ce long parcours de la délivrance irréversible!