Bien qu’on ne peut pas considérer ipso facto qu’il s’agit d’un procès politique au vu des chefs d’accusation retenu contre Taoufik Bouachrine, tous sans rapport avec son métier de journaliste, mais il s’agit bien d’un procès à relent politique. La preuve en est les plaidoiries des avocats des parties civiles qui ont tous réservé, lors de l’audience du mercredi…