En juin 2011, j’ai échangé quelques mots avec le grand romancier et cinéaste chilien, Antonio Skarmeta, à bord de la navette qui nous ramenait de l’aéroport à l’endroit d’une conférence de l’UNESCO sur «l’avenir du livre à l’ère numérique», organisée alors à Monza (Italie). L’homme, de lointaine origine croate, était jovial, communicatif, plaisant pour tout…