Les films de Nabil Ayouch ne sont pas de ceux qui font consensus. Ils interrogent et font souvent débat. Après Les chevaux de Dieu (2012) tiré d’un roman de Mahi Binebine sur le terrorisme islamiste et Much Loved (2015) sur la prostitution, le réalisateur poursuit avec Razzia sur la désillusion, une œuvre forte, entre chronique…