Depuis déjà une éternité, le mandat du président de l’université Ibn Zohr, s’est expiré. Certes, la pandémie et d’autres paramètres ont retardé la nomination de son successeur. Mais, il semble que l’actuel ministre se soit «plu» à côtoyer davantage son hôte sortant, toujours en exercice. Entre temps, l’attentisme est de mise, depuis qu’on eut procédé au…