L’espoir que suscitait la fête du travail, célébrée le 1er mai, s’est éteint. Aucun accord tripartite n’a été signé entre le gouvernement et les centrales syndicales les plus représentatives. Les syndicalistes, qui misaient sur le 1er mai pour décrocher des concessions, s’accordent à dénoncer l’échec des deux premiers rounds du dialogue social. Pour eux, l’offre…