La crise du coronavirus ravive les craintes d’une vague de défauts de paiement de pays émergents et moins avancés, suscitant une multitude d’appels aux créanciers à reporter des échéances, voire à annuler partiellement la dette. A l’image du Liban qui s’est retrouvé en défaut de paiement dès le 9 mars, ou de l’Argentine qui a…