C’est en brandissant des banderoles et des panneaux disant «Quitter l’UE ne marchera pas», «UE je t’aime», «Nous demandons un vote populaire», «On vous a donné 1001 jours, laissez le peuple régler la question en un jour» ou encore «Révoquons l’article 50», que, samedi dernier – deux jours après que les dirigeants européens aient accordé…