Théâtre articles

Aïd Mouhoub: talent et humilité à équidistance

A quoi ressemblerait le théâtre marocain si Aïd Mouhoub n’avait pas existé? Les planches auraient été certainement sombres et ennuyeuses. Pourtant, ce grand comédien, au parcours exceptionnel, qui nous a quittés il y a 8 ans à l’âge de 81 ans, est tombé dans les oubliettes… malheureusement. Mouhoub était l’une des figures de proue ayant

Lahoucine Aboudrar, le débonnaire!

Il y a juste quelques semaines, le Dr Lahoucine Aboudrar a rendu le tablier, à la tête de la Faculté des sciences juridiques, économiques et sociales d’Agadir. Un beau parcours aussi bien éloquent que laborieux d’un doyen qui n’aime pas trop les faisceaux des projecteurs ni les gros titres des manchettes. Depuis déjà de longues

Mohamed Saïd Afifi, le «Hamlet» marocain

Mohamed Saïd Afifi a investi sa vie dans le théâtre… amoureusement et passionnément. Il est sans conteste l’un des piliers fondamentaux du théâtre marocain sous toutes ses facettes. Un homme simple au parcours hors pair, mais profond dans son travail, sa vision et son œuvre. Un édifice culturel porte son nom dans sa ville natale,

Touria Jebrane, poète de scène…

Incontestablement, Touria Jebrane est l’une des comédiennes et metteurs en scène qui ont marqué le théâtre national. Une femme brave et battante dont la carrière n’a pris aucune ride. Après des décennies de travail sur les planches marocaines, arabes et internationales, la comédienne a laissé un grain de beauté indélébile sur le visage de la

Azelarab Kaghat, le général…

L’artiste, c’est le style. Et Azelarab Kaghat en a. Le comédien excelle dans ses rôles, dans son jeu d’acteur raffiné et accroche le public par sa présence remarquable et sa prestance. Sa voix rauque, sa présence charismatique et son visage qui crève l’écran révèlent un comédien hors pair. Les débuts d’Azelarab sur les planches remontent

Lahoucine Bardaouz, un talent pluriel

Lahoucine Bardaouz est une icône du théâtre et cinéma amazighs. Né le 11 septembre 1955 à Inezgane, ville située entre Agadir et Aït Melloul, il a eu une brillante carrière artistique qui s’est construite progressivement durant plusieurs années de travail d’arrache-pied. C’est dans les années 70, plus précisément en 1976 que Lahoucine Bardaouz  entame sa

Abdelhak Zerouali, le maître du monodrame

Figure emblématique du théâtre marocain, Abdelhak Zerouali constitue, à lui seul, une école et une référence en la matière. Depuis sa tendre enfance, à Fès,  sa ville natale, le comédien a fait ses premiers pas sur scène en jouant le rôle du prince dans une pièce de théâtre intitulée «Fi Sabil Al Watan» d’Abdelkamel Bennis.

Le concert de la tolérance d’Agadir tend à disparaître?

Depuis son apparition, il y a une dizaine d’années, le concept de la tolérance d’Agadir troupe beaucoup de peine à subsister. Il agonise au fil du temps. En dépit de certaines voix qui d’élèvent par-ci, par-là, estimant que ce chow  annuel n’est qu’une perte de fonds jetés par la fenêtre, les initiateurs ont dû résister

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